Thursday, February 15, 2018

free speech

My hair grows, steadily,
As one season goes after the other,
And the flowers start to bloom.

Is the beginning of the Spring.

I watch as the sound that comes
Seems to fill me up with joy,
The passage of time is a beauty within itself.

One set of complex systems we are.

All the dirt around us fertilizing,
All the mirrors memorizing
A second that lives forever.

Monday, February 12, 2018

Walt Whitman, Leaves of Grass

"I have heard what the talkers were talking, the talk of the beginning and the end,
But I do not talk of the beginning or the end.

There was never any more inception than there is now,
Nor any more youth or age than there is now,
And will never be any more perfection than there is now,
Nor any more heaven or hell than there is now.

Urge and urge and urge,
Always the procreant urge of the world."

Thursday, February 08, 2018

close to home


Friday, February 02, 2018

exercício #327

Exercício breve, mas importante,
Pois a hora é quota parte do conteúdo,
Contam-se agora outra vez os dias
Até aos dias do entrudo.

Tuesday, January 16, 2018

Wednesday, August 09, 2017

Nicey Nicey



Thursday, August 03, 2017

Thursday, October 20, 2016

by: ntm

Il est blanc, je suis noir
La différence ne se voit que dans les yeux des bâtards
Trop tard
Différence ethnique, alliance de cultures
Voilà les raisons de notre progression, c'est sûr
J'ai l'esprit clairvoyant et les yeux bien ouverts
Car j'inspire, j'espère
Mec, à voire faire taire
Dans l'instant tous les soi-disants "prophètes,
Les propagateurs, adulateurs d'une race parfaite"
C'est clair et net, la démonstration est faite
Dix pour cent pour Le Pen aux élections, c'est une défaite
En fait, prends ça dans ta face, quelle que soit ta race,
Noir et blanc, blanc et jaune, jaune et rouge, rouge ou beur
Je m'adresse à la jeunesse, celle qui se dresse, sans cesse
Sans peur ni crainte, face aux dictateurs
Dont l'empreinte reste une offence, pour ce monde qui avance.

Je suis blanc, il est noir,
C'est une leçon pour l'histoire.
Blanc et noir, l'histoire est a revoir.

OK Shen, je reprends pour faire monter la transe
J'augmente le volume, et là tu sens gonfler ma plume
Mon cerveau fume, j'ouvre les yeux
Les faussaires sont partout
Oui, ces individus qui crachent seulement sur Le Pen
Et entretiennent le même style de haine
Du genre complètement manipulé
Par des pseudos suppôts de prophètes
Le décalage est certain
Mais, maltraitant le bâtard
Qui se dit blanc, qui se dit beur, qui se dit noir,
NTM est l'impact sans aucun sens du tact
Se déjouant de toute attaque
Des ennemis de la liberté
Fils de pute qui réfutent et se butent
Dans les préjugés dépassés
Pump it up, Pump it up...
Ankylosés par les années
Quant à nos pairs
Endoctrinés par leurs aînés
Sont déjà prêts à assurer la relève
Donc un seconde d'attention
Car, préalablement, toujours sans faux-semblants,
La société multiraciale va de l'avant
Je suis renvoi, c'est un blavant
Et pourtant dans nos veines coule le même sang.

Je suis blanc, il est noir,
C'est une leçon pour l'histoire.
Blanc et noir, l'histoire est a revoir.

Farakhan ou Le Pen
Même combat pour la haine
Je dis stop, c'en est trop go!
Attention danger, ne laisse pas véhiculer
Dans ton esprit, leurs idées
Leurs paroles, leurs volontés, leurs notions d'attardés
Fanatiques ou disciples, ta raison n'a pas de sens
Je suis blanc, il est noir
Alors prends ça comme une offense
Car en France, le problème n'a pas lieu d'exister
Les Etats-Unis ne sont pas toujours bons à copier
Multiraciale est notre société
Alors bougeons ensemble, et créons l'unité
Car depuis longtemps, trop longtemps, oui depuis trop longtemps
Depuis que le monde est monde, la couleur est une frontière
Une barrière, c'est clair, je déclare le guerre
A la terre entière, d'un revers autoritaire
Je balaie, je combats puis, l'un après l'autre, j'abats
Le Front National, les skins, l'apartheid, le ghetto.

Je suis blanc, il est noir,
C'est une leçon pour l'histoire.
Blanc et noir, l'histoire est a revoir.
Je suis blanc, il est noir,
C'est une leçon pour l'histoire.
Blanc et noir, l'histoire est a revoir.

Parallèlement, je te démontre
Que, quelle que soit ta couleur, quelle que soit ta nature
Aucune race n'est supérieure, car il n'y a pas de couleur
Pour être cartonneur
Asphyxiant le préjujé car toute connerie a ses limites
L'indulgence, je m'en dispense
Toutes ces conneries dérisoires
Comment peux-tu y croire?
De quel droit peux-tu penser que cette chose dans laquelle
Tu te terres nous diffère
Car sans comprendre, sans apprendre
Tu t'enfonces et je n'ai même pas pitié de toi
Car, à l'heure où je te parle,

Prends-tu seulement conscience de mes mots?

Thursday, October 13, 2016

Kevin Krautgartner

Wednesday, June 22, 2016

Treinos

Tuesday, June 21, 2016

Sunday, June 19, 2016

Poema 1

A relatividade é absoluta.
O tempo, sim, o tempo,
Aquele que se desfaz no contínuo
E que nos transporta e acolhe,
É o que em si mesmo escolhe
A rapidez do percurso. 

A visão em túnel, a viagem interminável,
As luzes dos outros e a si-presença,
Tudo a passar por todos,
é imutável.
O ruído, o longínquo constante,
A semana berrante
Cala apenas na forma calmante
Da percepção obrigatória
Da forma das coisas.

Irrefutável, 
Irredimível,

Tempo.

Wednesday, April 09, 2014

Best music videos - part I

I know it is slightly subjective.





Thursday, October 03, 2013

Poetry Day UK

The following poem was written by the winner of this year's John Betjeman poetry prize for young people, Michael Bourton. He is 12 years old.
"Behind the hill, the sun slips, slow,
Casting long shadows here below.
The old church, high upon the hill
Reflects the crimson rays until,
The sandstone has a rosy glow.
Over beside the grave yard wall,
Upon a gravestone, standing tall,
As shadows deepen and grow long
The robin sings his evensong.
As deeper the dark shadows fall.
The fir tree standing stiff and straight,
Lichen clad cross beside the gate,
Gold crests twitter in the fir tree,
The thrush repeats his reverie
From the cross, in the fading light.
Pigeons roost in an ancient yew,
And collared doves repeat “Coo, coo.”
The blackbird high in the oak tree
Sings to claim his territory
So the birds in the churchyard knew.
The sun is sinking lower still,
The barn owl screeches clear and shrill.
The blackbird calls a loud alarm,
So other birds come to no harm,
As the sun drops behind the hill.
The owl leaves his roost, taking flight
Above the gravestones in the night,
On silent wings he hovers low,
Unheard by creatures down below
And far above their range of sight.
The sun can now be seen no more.
But light streams from the old church door.
As birds fall silent, now we praise,
And to our God our hymns we raise.
With songs no sweeter than before."

Sunday, April 21, 2013

Bananas

Wednesday, April 10, 2013

Your love

Tuesday, April 02, 2013



Je vais apprendre le français pour vous inviter à danser avec moi.

Thursday, March 07, 2013

para que o mundo saiba

[...] és o corpo inconstante que segura o meu. em ti reside a minha fuga, a minha chegada, a constante mudança. és sempre novo para mim. eu sei que já te disse isso várias vezes, mas é mesmo isso que sinto. é algo que está em ti e que mexe e me prende. não sei se na forma do corpo, no corpo em si ou no que lá reside. mas, qualquer uma das três, és tu. [...]

espécie de prisão (segunda tentativa)

Os teus muros de betão crescem
altivos e cheios de arte,
na estética que te toca parte,
e as árvores vão caindo.
A velocidade a que vão crescendo
é proporcional ao sol que vou perdendo
todos os dias.